‘Comme je n’aurai pas de retraite ou quasiment pas…

mon but est de me constituer un capital et aussi des rentes pour travailler moins’.

Ce genre de messages j’en reçois de plus en plus souvent mail.

Celui-ci est de Gisèle qui approche la soixantaine.

Je suis un homme bien élevé donc je ne demande jamais leur âge aux dames…

mais là elle me l’a précisé cheeky.

Heureusement Gisèle a déjà investi un peu plus tôt.

L’investissement immobilier reste de loin le meilleur rempart contre la précarité lorsque l’on avance dans l’âge.

Les années s’écoulent…

on n’arrête pas de dire que le temps passe vite. 

Eh bien tant mieux pour les investisseurs qui déjà ont posé la première pierre de leur patrimoine.

C’est aussi cette réflexion qui m’a guidé lorsque j’ai commencé à investir en 2005.

J’ai voulu protéger ma mère retraitée et la mettre à l’abri.

Au sens propre comme au sens figuré.

J’ai donc investi dans un appartement en Bourgogne et c’est elle l’heureuse locataire

Elle me verse un loyer qui se situe dans la fourchette basse du marché.

J’ai emprunté sur une durée de 20 ans.

Je rembourse tranquillement le prêt à la banque depuis…

Et mine de rien 2025 n’est plus si loin.

On a déjà fait quasiment les ¾ du chemin.

Dans 6 ans le prêt sera fini.

Appartement payé.

Remboursements mensuels terminés.

Résultats des courses ?

Non ce n’est pas l’opération la plus rentable que j’ai faite.

Non je n’ai pas d’autofinancement.

Encore moins de ‘cashflow’ positif comme vous disent les vendeurs de formations sur YouTube.

Oui je mets même un peu d’argent de ma poche chaque mois.

C’est comme une épargne finalement.

Sauf qu’au lieu d’aller sur un livret à la banque ça va dans la pierre.

Je préfère largement vu les temps qui courent…

C’est surtout l’investissement dont je suis le plus fier de toute ma vie heart.

Celui qui est le plus sécurisant.

Pour elle comme pour moi.

Maintenant vous aussi qui me lisez :

Que vous ayez 20, 30, 40, 50 ans ou plus…

Si vous êtes en capacité d’investir…

FAITES-LE.

Les barrières sont souvent plus psychologiques que réelles.

Faites-le par exemple en utilisant la valeur d’usage de l’immobilier.

Vous avez peur ?

Alors investissez dans une grande ville.

Achetez à Bordeaux, à Nantes, à Lyon ou à Nice.

Achetez là où vos parents ont envie de vivre.

On s’en fout si ce n’est pas l’affaire du siècle.

Vous gagnerez de toute façon de l’argent sur le long terme.

Dans une grande ville vous pourriez revendre en un claquement de doigts si la vie le voulait.

Et avec plus-value.

Ça sera toujours mieux que d’hésiter et de laisser filer les années.

Ou de vous faire des nœuds au cerveau en calculant la rentabilité optimale.

Et dans quelques années vous vous féliciterez de l’avoir fait.

FAITES-LE.

 

PS : pour un coaching de déblocage ou passage à l’action

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