Nathalie Cariou : présentation

Nathalie Cariou est l’experte francophone de l’indépendance financière.

Apprendre à gagner de l’argent, investir, apprendre à créer son indépendance financière, telles sont les missions qu’elle s’est attribuées

Et elle les remplit avec brio grâce à ses vidéos, ses conférences, ses coachings, ses formations qui sont de grande qualité.

Je vous invite vivement à visiter son site Internet, qui est à la fin de cet article.

Lors de l’interview que nous avons faite ensemble, nous avons discuté d’investissement immobilier, et surtout comment se LANCER quand on n’y connaît rien, et que l’on recherche la sécurité avant tout (comme c’était mon cas).

Une des principales raisons qui explique que la grande majorité des gens n’ose pas investir dans l’immobilier, c’est le fait qu’ils ont peur.

On a beau avoir un salaire fixe, un poste en CDI, ce qui est plutôt sécurisant pour un banquier pour qu’il vous prête de l’argent, un âge qui convient parfaitement à un investissement long…

Ce qui vous bloque n’a souvent rien de factuel ni de rationnel, ce sont juste les peurs qui vous hantent.

Ce qui est un comble, car quand les choses sont bien réfléchies, objectivement l’immobilier est un des placements les plus sécurisants.

Je suis bien placé pour parler des peurs, puisque moi aussi j’étais pétrifié à mes débuts à l’idée d’investir sur une durée de 20 ans, et sur des montants qui dépassaient les 100 000 €.

Si vous rajouter à cela les travaux, la méconnaissance totale de la fiscalité, les aléas qui peuvent surgir durant toute la durée de la gestion locative…

Il y a de quoi jeter l’éponge, et passer à autre chose en gardant juste cette idée en tête d’investir ‘un jour’ dans l’immobilier… Et il peut s’écouler ainsi des années.

Dommage.

 

Comment tout a commencé :

À l’âge de 30 ans, j’ai eu la chance d’avoir de l’argent de la part de mes grands-parents, qui avaient été chefs d’entreprise dans le domaine de l’entretien automobile, et des pneus.

Ils avaient également un profil très sécurisant, ils fuyaient absolument tous les risques.

Ils avaient juste acheté leur maison dans une toute petite ville de Bourgogne, ainsi qu’un petit appartement à la montagne pour aller prendre l’air, c’était leur résidence secondaire.

Mais ils n’avaient malheureusement aucune expérience dans l’investissement locatif.

Ils travaillaient beaucoup, ils ont bien gagné leur vie car ils ont pris la décision de créer leur entreprise, et les 30 glorieuses ont été un facteur très positif pour eux.

Mon obsession quand je me suis lancé était donc de ne surtout pas perdre d’argent, et d’éviter qu’un seul euro ne soit dilapidé, pour respecter la confiance qu’il m’avait faite en me transmettant de l’argent qu’ils avaient gagné en travaillant durement.

J’avais également en tête l’idée de transmettre.


Pour résumer, mon principe était :

Pile : je gagne.
Face : je ne perds rien.

J’ai donc eu l’idée de démarrer dans l’investissement immobilier en achetant un appartement… Qui allait devenir la résidence principale de ma mère.

Comme mes parents étaient divorcés, et que ma mère était locataire d’un appartement qui ne lui plaisait pas vraiment, j’ai investi à crédit, sur 20 ans, dans un appartement, et c’elle qui est devenu ma locataire.

Avec un loyer dans la fourchette basse du marché.

C’est ce qu’on appelle la valeur d’usage de l’immobilier : c’est à la fois un investissement, mais également un lieu de vie, un toit sur une tête. Cela répond au besoin fondamental de chacun, celui de se loger.

C’est une façon d’investir dont on parle très peu, et qui pourtant est à mon sens un excellent moyen de s’affranchir de ses peurs, et de ses doutes, quand on souhaite se lancer pour la première fois.

Et surtout, d’investir utile.

Quinze ans plus tard, au moment où j’écris ces lignes, ma mère est toujours dans cet appartement, je continue à rembourser le crédit (que j’ai renégocié à la baisse entre-temps).

Ce n’est clairement pas l’investissement le plus rentable de ma vie, mais au moins j’ai la grande satisfaction d’avoir sécurisé ma mère retraitée, car après sa carrière d’aide-soignante à l’hôpital, et son divorce, ses revenus ne lui auraient pas permis de louer l’appartement qu’elle occupe, et encore moins d’acheter son propre logis.

C’est donc en quelque sorte une façon de renvoyer l’ascenseur à ses parents, à qui l’on doit tout.

Dans mon histoire personnelle, à 2 mois d’intervalle de ce premier investissement, il a eu un autre événement dans ma vie.

 

Un événement  de vie qui m’a débloqué.

L’arrivée au monde de ma première fille.

Pour vous aussi, investir dans l’optique de transmettre un jour, de mettre votre enfant à l’abri du besoin est un ‘pourquoi’ qui est très fort et qui peut faire sauter des barrières psychologiques, et vous permettre de dépasser vos peurs de vous lancer dans l’investissement.

Et votre enfant, lorsqu’il sera majeur :

  • Il sera soit le bénéficiaire un jour des loyers
  • Il peut revendre l’appartement, et démarrer dans la vie avec le fruit de la vente
  • Si vous achetez un appartement agréable à vivre, il pourra peut-être un jour aller y vivre (et avoir un toit sur la tête aussi !).

En ce qui me concerne, c’était comme une promesse que je m’étais faite, et que je devais impérativement réaliser l’année même de sa naissance, symboliquement.

Financièrement il m’a suffi d’investir les frais de notaire qui s’élevaient à 6 000 €, et j’ai pu emprunter tout le reste à la banque. J’ai choisi une durée de 12 ans, après m’être renseigné auprès d’un agent immobilier.

L’idée fondamentale que vous devez retenir, c’est qu’à partir du moment où vous avez investi dans la pierre, le temps joue en votre faveur.

C’est aussi ce que j’explique dans le guide PDF offert que vous pouvez télécharger sur le lien suivant :

https://www.stephanelejeune.com/7-meilleurs-conseils-valables-meme-en-temps-de-crise-en-immobilier/

 

Alors que tant que vous n’avez jamais franchi le cap, le temps joue en votre défaveur.

Le temps passe, et vous n’avez pas encore planté votre arbre, pour qu’il grandisse, se développe, et vous apporte un jour ses fruits.

Si vous aussi qui lisez ces lignes vous avez investi pour vos parents, ou pour vos enfants, partagez votre retour d’expérience dans les commentaires ci-dessous.

Enfin, je vous invite à visiter le blog de Nathalie Cariou, que je remercie encore pour sa sympathie et son professionnalisme :

http://www.clefsdelareussite.fr/

Et le lien vidéo de l’interview :

https://youtu.be/z2FrA3GyaKM

 

Ce qu’il faut retenir :

  • Investir pour un parent ou un ascendant peut débloquer vos peurs, et vous investissez utile
  • Le principe de sécurité : Pile, je gagne. Face, je ne perds rien
  • Le temps joue en votre faveur à partir du moment où vous avez investi.

A bientôt,

Stéphane